Les amendements de Frédérique Dumas pour ce dossier

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Je donnerai un avis différent, non pas parce que je représente un lobby, même si j'exerçais précédemment le métier de productrice de cinéma. Je vais dans le sens du rapporteur général : il est bien de réaliser une évaluation, car notre échange, pour l'instant, est surtout idéologique. Nous oublions que le cinéma français est en compétition avec...

Je suis pour l'évaluation, car elle nous permettra de sortir du débat idéologique en comparant avec l'étranger. J'ai moi-même produit des films à l'étranger pour bénéficier, au Canada, en Nouvelle-Zélande, en Belgique ou en Suisse, de crédits d'impôt largement plus importants. Cette évaluation sera donc la bienvenue.

Je défendrai cet amendement, même si ce sera difficile après l'échange que nous venons d'avoir ! Il s'agit de rétablir l'égalité de traitement entre les oeuvres audiovisuelles documentaires et les autres. Comme vous le savez, le taux de crédit d'impôt pour les documentaires audiovisuels est resté fixé à 20 %, avec un plafond de 1 150 euros la m...

Vous dites que les autres secteurs ont aussi besoin de tels dispositifs, et vous avez raison. Cependant, la compétition internationale dont je parle se joue non sur les coûts de production – dans ce cas, effectivement, il n'y aurait pas plus de raison d'octroyer ces avantages au secteur cinématographique qu'aux autres – , mais sur les crédits d...

J'espère que cet amendement, qui concerne en effet le crédit d'impôt phonographique, subira un sort différent des précédents ! Il est ici question de dépenses encadrées, qui visent à favoriser l'émergence de nouveaux talents et à soutenir la francophonie. Nous proposons de proroger ce crédit d'impôt de manière anticipée car les producteurs ont ...