Les amendements de François-Michel Lambert pour ce dossier

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Qui, sur ces bancs, n'a pas été choqué par les images révélant des pratiques inacceptables – bien que minoritaires – des conditions d'abattage de bétail dans certains établissements, en infraction manifeste avec la réglementation actuelle ? Qui, sur ces bancs, n'a pas été interpellé par les pro- et les anti-chasse ? Ces événements et faits dive...

pour nous interroger sur les relations plusieurs fois millénaires que les hommes entretiennent avec les animaux domestiques et d'élevage ou avec la faune sauvage. Ces dernières années, nos sociétés ont développé une meilleure connaissance des animaux, de leur intelligence, de leur sensibilité, de leur capacité même à exprimer des sentiments, e...

Oui, l'industrialisation de l'élevage pose question, mais je ne voudrais pas que ce texte soit l'occasion de remettre en cause la notion même d'élevage. Car on voit les dynamiques à l'oeuvre, relayées par des acteurs du monde médiatique en quête de notoriété et des grands chefs d'entreprise, véritables poids lourds financiers, qui poursuivent u...

Il faut le dire à cette tribune, dans cet hémicycle : à mes yeux, l'agriculture cellulaire ne doit pas être le futur de notre alimentation.

Ne vous y trompez pas : la question du bien-être animal est centrale et j'estime que respecter les animaux n'est pas antinomique avec le fait d'accepter leur mort. Je pense toutefois que cette question existentielle réclame plus que des mesures ponctuelles qui ne s'inscrivent pas dans un projet global. Cher Cédric, je le dis de façon directe : ...

En ne posant pas les bonnes questions, ce texte débouche sur des propositions inabouties. Je pense, par exemple, à l'article 2 qui interdit l'élevage pour les seuls visons d'Amérique destinés à la production de fourrure. En quoi les lapins, les hermines ou les coyotes, également élevés pour leur fourrure, seraient-ils moins légitimes à être pré...

Voilà de quoi nous voudrions parler ! Il nous faut une approche globale. À se préoccuper du sort de certaines espèces au fort potentiel de sympathie et à en délaisser d'autres, ne faisons-nous pas preuve, paradoxalement, d'un anthropocentrisme déplacé ? Souvenez-vous de Maurice, le poisson rouge, trimballé dans des fêtes foraines dans un sac pl...