Interventions sur "médecin"

5 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaYannick Favennec-Bécot :

Faire en sorte que les médecins s'installent là où nous avons besoin d'eux est une mesure de bon sens. Une telle mesure, cela a déjà été souligné, existe déjà pour les infirmiers, les pharmaciens ou les masseurs-kinésithérapeutes. Elle est de plus plébiscitée par nos concitoyens, lorsqu'on leur pose la question. Nous devons les écouter. Dans le cadre du grand débat national, auquel nous avons tous participé dans nos circonscr...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Garot, rapporteur de la commission des affaires sociales :

Monsieur le secrétaire d'État, vous avez recouru à de nouveaux arguments contre l'idée de la régulation. Selon vous, elle serait non seulement infâme, puisque coercitive, mais, de plus, inefficace, parce que le nombre des médecins est insuffisant. Il faudrait un nombre suffisant de médecins pour que la régulation soit efficace. Pourquoi l'intervention de la puissance publique pour assurer la régulation en fonction des besoins serait-elle efficace avec trop de médecins et inefficace avec un nombre insuffisant de médecins ? Une règle de répartition de l'offre de soins doit pouvoir être efficace en tout lieu et en tout temps...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Garot, rapporteur de la commission des affaires sociales :

La gouvernance doit être la même pour tous ! Il n'est pas possible d'avoir deux façons d'aborder la parole syndicale, selon qu'on a affaire à un médecin ou à un ouvrier.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Borowczyk :

Je souhaite revenir sur les arguments avancés par le rapporteur. Nous avons déjà eu ce débat en commission : j'avais alors posé une question, mais sans obtenir de réponse. J'entends votre engagement dans la lutte contre la désertification médicale : nous avons tous compris, dans l'hémicycle, qu'il existait un véritable problème, conséquence d'un manque cruel de médecins. Celui-ci est dû, entre autres, au numerus clausus, mais également à l'augmentation de la demande en soins médicaux. Nous ne sommes donc pas du tout dans la même situation de démographie médicale que pour les pharmaciens ou les infirmiers – ces derniers, en particulier, étaient très nombreux, ce qui justifiait la régulation. Je n'ai pas obtenu de réponse à la question que j'ai posée en commissi...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Borowczyk :

En tant que député – car je ne suis pas uniquement médecin – , pour assurer une activité médicale dans mon territoire, je crée des MSP et des CPTS ; je fais venir des médecins, je développe la télémédecine et la téléexpertise. Voilà ce qui est vertueux !