Cet amendement vise à supprimer l'avis de l'Agence de la transition écologique (Ademe) sur les modalités d'application de l'article 1er, qui seront définies par décret. L'agence, qui n'est pas une autorité administrative officielle, a elle-même indiqué ne pas disposer des moyens adéquats pour apporter ces précisions, raison pour laquelle elles ont été fixées directement aux alinéas 4 à 6, relatifs à la motorisation des véhicules éligibles.
Tout à fait ! Très bien !
On est convaincus !
Il faut revaloriser le métier !
Elle ne l'avait pas été depuis quinze ans !
C'est ce qu'ils ont ressenti !
C'est une honte !
Il n'y a jamais eu autant d'Ehpad en déficit !
Nous mangerons des endives belges !
Si on y arrive, c'est très bien ! Nous voulons du concret !
Ça, c'est un vrai sujet !
En pleine crise agricole, en plein Salon de l'agriculture, ce débat est fort à propos. Le Président de la République a inauguré le soixantième Salon de l'agriculture, accueilli par des sifflets, des quolibets et des bousculades. Un tel accueil est inédit, mais en agriculture, nous le savons mieux que quiconque, on récolte ce qu'on sème. Le Président a pu découvrir et mesurer le désarroi et l'angoisse du monde paysan. L'heure est grave, madame la ministre : nos campagnes ne mourront pas sans lutter. Il faut réagir, et vite. Les promesses, les beaux discours et les coups de com' n'ont plus d'effet sur les paysans. Il ne suffit pas de lancer la grande idée des ...
Il a baissé ! Ça a bien marché !
Avec le libre-échange !
Il y en a de moins en moins !
Et aux exploitations de montagne !
Chez nous, c'est naturellement bio !
Ils ont raison !
Il ne faut pas que les prix planchers démarrent à la cale !
Je tiens à souligner la grande confusion qui règne dans les territoires. Dans les départements de la Corrèze et du Cantal, pourtant voisins, par exemple, la définition d'un IPA n'est pas la même et les caisses primaires d'assurance maladie (CPAM) ou les agences régionales de santé (ARS) tiennent des discours différents. Il est temps de clarifier la situation. Le temps presse : plus de 4 000 patients sont sans médecin traitant dans le nord du Cantal et le phénomène s'accélère. Alors que les médecins vieillissent, nous ne trouvons pas de solution, si bien que les infirmières libérales sont souvent contraintes de prendre le relais sans avoir toutes les ...
Notre système de santé, en ville comme à l'hôpital, est en grande souffrance. Samedi dernier, les infirmières et infirmiers libéraux ont manifesté pour une meilleure reconnaissance de leur métier et une revalorisation du tarif de leurs actes, bloqué depuis quinze ans. Ils ont mis en exergue l'engagement de leur responsabilité dans la prise en charge des patients sans médecin traitant. Les territoires ruraux sont particulièrement frappés ; le Cantal n'y échappe pas. Dans le nord du département, plus de 4 000 patients sont actuellement dépourvus de médecin traitant et leur nombre va croissant. La loi du 19 mai 2023 portant amélioration de l'accès aux soins ...
Non, il est parti !
Cela ne date pas d'aujourd'hui !
Le GNR n'est pas le fond du problème !
Vous les punissez !
Intervention uniquement disponible en vidéo.Consulter la vidéo en cliquant sur la miniature
Il vise à imposer un modèle type d'appel de fonds, défini par arrêté, afin que ces documents soient plus lisibles et plus compréhensibles. Actuellement, reconnaissons-le, les bordereaux d'appels de fonds – qui sont d'ailleurs très hétérogènes – ne sont guère compréhensibles.
Dites-le à Lactalis !
Il n'y a pas que vous !
Intervention uniquement disponible en vidéo.Consulter la vidéo en cliquant sur la miniature
Et sur l'élevage !
Les négociations officielles ont repris entre l'Union européenne et les pays du Mercosur, avec l'objectif de finaliser cet accord de libéralisation du commerce si controversé au vu des enjeux de souveraineté alimentaire, de revenu paysan ou encore de dérèglement climatique. Le sommet qui s'est tenu à Rio de Janeiro le 7 décembre 2023 n'a pas été conclusif, et l'accord UE-Mercosur a été une nouvelle fois repoussé sur fond de tensions. Pourquoi continuer dans cette voie alors que l'importation de produits sud-américains en Europe aura un impact négatif pour les agriculteurs français et les produits européens, plus particulièrement pour notre élevage ? La ...
Et les pauvres disparaissent…
Très bien !
Et de la réaction !
Amalgame !
Oui, au cas par cas !
C'est inacceptable !
Ils créent l'injustice.
Bien sûr !
Les Français ne veulent pas la révolution. Vive Larcher !
Que c'est étonnant !