Tout à fait ! Très bien !
On est convaincus !
Si on y arrive, c'est très bien ! Nous voulons du concret !
Ça, c'est un vrai sujet !
En pleine crise agricole, en plein Salon de l'agriculture, ce débat est fort à propos. Le Président de la République a inauguré le soixantième Salon de l'agriculture, accueilli par des sifflets, des quolibets et des bousculades. Un tel accueil est inédit, mais en agriculture, nous le savons mieux que quiconque, on récolte ce qu'on sème. Le Président a pu découvrir et mesurer le désarroi et l'angoisse du monde paysan. L'heure est grave, madame la ministre : nos campagnes ne mourront pas sans lutter. Il faut réagir, et vite. Les promesses, les beaux discours et les coups de com' n'ont plus d'effet sur les paysans. Il ne suffit pas de lancer la grande idée des ...
Il a baissé ! Ça a bien marché !
Avec le libre-échange !
Il y en a de moins en moins !
Et aux exploitations de montagne !
Chez nous, c'est naturellement bio !
Ils ont raison !
Il ne faut pas que les prix planchers démarrent à la cale !
Il vise à imposer un modèle type d'appel de fonds, défini par arrêté, afin que ces documents soient plus lisibles et plus compréhensibles. Actuellement, reconnaissons-le, les bordereaux d'appels de fonds – qui sont d'ailleurs très hétérogènes – ne sont guère compréhensibles.
Et sur l'élevage !
Les négociations officielles ont repris entre l'Union européenne et les pays du Mercosur, avec l'objectif de finaliser cet accord de libéralisation du commerce si controversé au vu des enjeux de souveraineté alimentaire, de revenu paysan ou encore de dérèglement climatique. Le sommet qui s'est tenu à Rio de Janeiro le 7 décembre 2023 n'a pas été conclusif, et l'accord UE-Mercosur a été une nouvelle fois repoussé sur fond de tensions. Pourquoi continuer dans cette voie alors que l'importation de produits sud-américains en Europe aura un impact négatif pour les agriculteurs français et les produits européens, plus particulièrement pour notre élevage ? La ...
Et les pauvres disparaissent…
Très bien !
Amalgame !
Oui, au cas par cas !
Ils créent l'injustice.
Bien sûr !
Les Français ne veulent pas la révolution. Vive Larcher !
Que c'est étonnant !
D'ailleurs, le dessert a été servi avant le fromage.
Que d'espoirs !
On ne perdra pas grand-chose ! Les risques sont limités.
Il y a Alain Marleix et Olivier Marleix !
Bien vu, Jean-Pierre !
Là est la clef !
C'est le minimum syndical !
C'est important, cela !
C'est la conclusion qui importe !
Ce n'est pas la question !
Quand on veut, on peut !
Les liens existent !
Cet amendement de ma collègue Émilie Bonnivard s'inscrit dans le même esprit que ceux qui viennent d'être défendus : il vise à accompagner les communes moyennes dans l'introduction de produits bio dans les cantines, afin d'atteindre les objectifs de la loi Egalim. Il tend ainsi à prolonger l'action engagée dans le cadre du plan de relance et à en élargir les bénéficiaires. Les divers mouvements de crédits proposés par l'amendement sont formels et visent à respecter les règles budgétaires.
Il s'agit de choix budgétaires !
Peut-être, mais ne faisons pas traîner les choses : il y a urgence !
Il est urgent d'agir : il y va de l'avenir de nos campagnes et de notre souveraineté alimentaire !
La fiscalité serait un outil efficace pour orienter les transmissions vers les jeunes générations, à l'heure où l'élevage français connaît une situation préoccupante, voire critique, avec des éleveurs qui, arrivés à l'âge de la retraite, ne parviennent pas à trouver de successeur. En outre, les moyens alloués aux chambres d'agriculture stagnent, alors que leur mission de conseil ne cesse de croître pour répondre aux enjeux climatiques, sociétaux et économiques. Enfin, le présent budget cherche à soutenir la transition écologique et tente de relever le défi climatique. Reste que certaines de ses dispositions affecteront lourdement notre agriculture, au ...
En découvrant les crédits consacrés à l'agriculture, nous pourrions nous réjouir. En effet, le projet de loi de finances pour 2024 contient des avancées importantes pour le monde agricole, avec des crédits en hausse et des mesures positives, telles que la déduction fiscale de la valeur des stocks de bovins ou l'instauration d'un taux de TVA réduit pour les centres équestres. Néanmoins, il prévoit le relèvement de la redevance pour pollutions diffuses, prélevée sur les achats de produits phytosanitaires, mais aussi de la redevance pour prélèvement sur la ressource en eau, qui inflige ainsi 47 millions d'euros de charges supplémentaires aux agriculteurs, ...