C'est faux ! Ce sera du filtrage !
Elle a raison !
La voix de la raison !
Exactement !
Il a raison !
Un très bon rapport !
Oui, c'est dans le rapport !
Très bien !
C'est vrai !
C'est le Front national !
Là, on ne fait plus rien !
Bravo !
C'est mieux que d'être le porte-flingue de Marine !
Et on mange même les enfants !
Absolument !
Eh oui ! C'est neuf de trop !
Très bien !
Ce ne sont pas des onomatopées !
Je préfère vous entendre !
Mais non ! On craint dégun !
Merci de nous accompagner !
Un peu quand même !
Cet amendement, le dernier que j'ai déposé sur ce texte, porte sur un sujet très particulier. Imaginons une entreprise qui aspire de la data et la rend disponible, ce qui permet à n'importe qui d'accéder à des informations dont le partage n'est pas consenti par les intéressés. L'outil, qui se présente comme une extension pour moteur de réseau social, permet d'avoir accès à des numéros de téléphone et à des adresses de messagerie. Saisie par plusieurs utilisateurs en raison du caractère abusif des pratiques de cette entreprise – je le répète, il s'agit de recueillir des données personnelles et de les mettre à disposition d'autrui sans le consentement ...
J'interviens, contrairement à l'oratrice précédente, en soutien de l'excellent amendement de mon collègue Marc Ferracci, que j'ai eu l'honneur et le plaisir de cosigner. J'ai connu La France insoumise beaucoup plus disposée à encourager l'open data – d'autant qu'en l'occurrence, il ne s'agit même pas d'open data, mais d'accès à la donnée pour les chercheurs. Les enjeux et risques de toute nature qui sont devant nous nécessiteront que nous puissions mobiliser des jeux de données issus de multiples administrations afin d'avoir une bonne compréhension de phénomènes complexes. C'est ce que permet, en grande partie, cet amendement plus que bienvenu et qu'il est ...
Pour rendre plus concrets les débats sur l'empreinte environnementale du numérique – dont nous avons déjà discuté en commission des affaires économiques, madame Chikirou –, je rappelle que, d'après l'excellente étude de Green IT, les data centers représentent une part assez faible de l'empreinte du secteur numérique. Lorsqu'on souligne, comme vous l'avez fait, que le numérique représente 20 % de la consommation électrique globale, il convient de rappeler que 80 % de cette consommation est attribuable aux terminaux. Alors que des solutions existent pour réduire le poids environnemental de ces derniers, je regrette que nous ayons surtaxé les appareils ...