Les premières se remplissent d'eau de ruissellement, profitent à des bassins versants et donnent lieu, au sein d'un ensemble d'exploitations ou entre exploitations isolées, à un partage équitable de cette eau. Nous ne nous y sommes jamais opposés, dans la mesure où elles respectent l'environnement.
Les secondes, contrairement à ce que vous affirmez, puisent dans les nappes phréatiques. Il y a donc un partage inéquitable de l'eau au profit de quelques-uns, qui s'en servent pour irriguer des cultures destinées à l'exportation – on l'a vu dans les Deux-Sèvres. Le pire, c'est que ces mégabassines sont financées par de l'argent public !