Surprenante passion que celle soulevée par l'examen de ces amendements : sans doute est-ce la passion française des monuments et du patrimoine !
Il s'agit d'autoriser, uniquement pendant la durée des travaux, l'installation d'une bâche financée par un publicitaire en lieu et place d'une bâche moche. C'est autant d'argent que l'État ne doit pas débourser. Les responsables des monuments le demandent, car cela les aide à financer les travaux. Nul n'imagine que le Centre Pompidou conservera une bâche trois mois, deux ans ou cinq ans après la fin des travaux sous prétexte qu'il en retire des ressources !
Cet amendement de bon sens offre un degré de précision suffisant.