Les amendements de Sophie Panonacle pour ce dossier

7 interventions trouvées.

Il vise à compléter l'alinéa 5 de l'article afin de prendre en compte les stratégies locales de gestion intégrée du trait de côte lors de la définition des outils d'aménagement foncier et de maîtrise foncière, qui sont nécessaires à l'adaptation des territoires littoraux exposés au recul du trait de côte.

Depuis dix ans, quinze ans, populations et élus littoraux attendent un texte législatif visant à apporter des réponses à l'exposition des habitants et des communes à l'érosion côtière. Intégrer l'érosion côtière au présent texte est parfaitement cohérent, car n'est-elle pas l'une des conséquences du réchauffement climatique et la résilience n'e...

Il s'agit d'intégrer dans le code de l'environnement, à l'instar des conseils maritimes de façade, en métropole, et des conseils maritimes ultramarins, le CNML, qui a remplacé le Conseil national du littoral – lui-même institué par les articles 41 et 43 de la loi relative à l'aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral, dite loi...

Il vise à compléter le code de l'environnement afin d'insérer les stratégies locales de gestion intégrée du trait de côte dans les documents stratégiques de façade et de les rendre ainsi opposables.

Le Conseil national de la mer et des littoraux étant la seule instance nationale de concertation prévue par le texte pour les questions maritimes et littorales, il est proposé d'affirmer explicitement que son champ d'attribution inclut l'adaptation des littoraux aux effets du dérèglement climatique. Ainsi la gouvernance nationale en matière de ...

Il vise à exclure les biens immobiliers à usage ou à vocation agricole au sens de l'article L. 143-1 du code rural et de la pêche maritime du champ d'application du droit de préemption créé par le présent projet de loi. Les SAFER doivent pouvoir poursuivre pleinement leur mission sur les territoires littoraux, en préservant les espaces et les a...

Je maintiens mon amendement. Je crois même que l'article 58 G, tel qu'il est rédigé, pourrait mettre en péril la loi pour la protection foncière des activités agricoles et des cultures marines en zone littorale, dite loi Pahun. Je laisse donc la parole à mon collègue