Les amendements de Nicolas Dupont-Aignan pour ce dossier

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Monsieur le Premier ministre, vous l'avez dit vous-même dans un éclair de lucidité : annoncer des grandes mesures, c'est bien, prévoir comment elles seront appliquées, c'est mieux. Vous avez prononcé aujourd'hui les belles paroles habituelles. Qui pourrait être contre l'insertion des jeunes, la transition écologique ou l'investissement dans l'a...

Investir dans l'avenir, oui, mais encore faut-il sauver les PME qui, aujourd'hui même, menacent de faire faillite ! Pourquoi ne prenez-vous pas les mesures urgentes qui s'imposent ? D'abord l'annulation des charges des entreprises pour le deuxième semestre, plutôt que leur report. Ensuite l'instauration, comme en Allemagne, de prêts garantis à...

Il a refusé de prendre des participations dans le capital d'entreprises pourtant massivement soutenues par l'argent public ! Vous parlez d'un nouveau monde, mais vous ne vous attaquez pas aux causes structurelles de l'appauvrissement de la France, en raison notamment de la soumission d'Emmanuel Macron et de votre majorité à une Union européenn...

Notre désindustrialisation est le fruit d'une concurrence déloyale. Même pendant la crise du covid-19, la Commission européenne a poursuivi la signature d'accords commerciaux déloyaux avec le Vietnam ou le Mexique. Pis, le Président de la République a menti aux Français : il a annoncé le 29 juin qu'il avait « stoppé net » les négociations avec ...

Tout le reste n'est que fausse promesse ! Le deuxième défi est de rétablir l'ordre et de mettre fin à l'ensauvagement de notre société. Hélas, en matière d'insécurité et de réponse judiciaire, vos lacunes et vos incohérences sont flagrantes. À peine faisiez-vous des déclarations martiales, que je salue, à Dijon, que votre nouveau ministre de l...

Ces derniers ont bien compris que le Président de la République ne voulait pas se donner les moyens de rétablir l'ordre.

Hier, 14 juillet, il n'a pas eu un mot pour le chauffeur de bus de Bayonne, Philippe Monguillot, ni pour la gendarme du Lot-et-Garonne, tous les deux assassinés sauvagement. Et cela ne vous choque pas ! Le Président de la République a oublié ceux qui sont morts pour notre sécurité !

Je conclus, monsieur le président, sachant que les députés non inscrits ne disposent que de cinq minutes dans ce débat, sans doute parce qu'ils sont des députés de seconde zone.