Les amendements de Julien Dive pour ce dossier

7 interventions trouvées.

Cet amendement tend à donner priorité à la zone d'origine des signataires de CESP pour déterminer leur zone d'exercice. L'objectif est simple et humain : favoriser l'installation et l'ancrage des professionnels de santé dans leur territoire d'origine – là où sont leurs attaches, leur famille. Ce n'est ni une contrainte ni automatique : il s'agi...

Il s'agit d'un amendement d'appel, voire de provocation. Je le retirerai après mon intervention mais je souhaite tout d'abord vous faire réagir sur ce sujet, madame la ministre. Je veux vous alerter sur la situation des intérimaires, que nous n'avons pas encore traitée depuis le début de l'examen de ce projet de loi. Les intérimaires sont par e...

Cet amendement d'appel prend acte du fait qu'aujourd'hui les délais d'attente pour obtenir un rendez-vous sont, selon l'endroit où l'on réside, de l'ordre d'un à trois mois pour un ophtalmologiste et bien supérieurs pour certaines autres spécialités – jusqu'à une année pour un orthophoniste, selon les témoignages de certains parents, et de deux...

Afin de renforcer le soutien à la médecine générale, il convient de faire de celle-ci le point d'entrée des soins, afin de poursuivre la réforme du médecin traitant. Le nombre de médecins généralistes a considérablement baissé, à l'inverse du nombre des spécialistes. Pour la seule année 2018, il a diminué de 7 %. L'amendement vise donc à offri...

Je voulais réagir mais Jean-Pierre Door m'a devancé et il a très bien parlé, je l'en remercie. En réalité, nous ne disons pas le contraire, madame la rapporteure ; nous partageons la même vision des choses. L'amendement vise simplement à privilégier la médecine générale, à la mettre en avant, compte tenu du déficit de médecins généralistes qu...

Il prévoit l'élaboration d'un rapport. Celui-ci ne serait pas rédigé par le Gouvernement – voilà qui devrait vous convenir, madame la ministre ! – ni par le Parlement. Il s'agit ici d'un rapport rédigé en fin d'année par chaque université, portant sur ses capacités d'accueil et transmis à l'ARS. Certes, les capacités d'accueil des formations e...

J'aimerais réfuter les deux arguments avancés par Mme la rapporteure. Tout d'abord, vous affirmez, madame la rapporteure, qu'il faut laisser les universités et les ARS travailler ensemble. Cela n'est pas contradictoire avec le rapport proposé, lequel vise au contraire à soutenir ce travail. Vous m'opposez ensuite le fait que la plupart des un...