Cessons de croire que quelque chose nous serait tombé du ciel sans que les gouvernements aient eu leur mot à dire. Non ! Ils ont eu leur mot à dire, et la France a dit : « Bon, d'accord, on n'en parlera pas ». Quelle aberration, car, à la fin, de quoi parlons-nous, puisque nous n'avons plus le droit de parler ? J'ai évoqué des bavardages, à propos des dispositions environnementales du texte. Une méchante langue pourrait suggérer que nous ne faisons, nous aussi, que bavarder, puisque, de toute façon, les propos que nous tenons n'auront aucune conséquence. D'une certaine façon, accepter de débattre de ces accords dans de telles conditions peut passer pour une forme de capitulation.