Je vous remercie d'évoquer le sujet des pupilles de l'État, qui pose de vraies questions en matière d'accompagnement et de prise en charge. Je sais que le Gouvernement y travaille et que la population concernée pourra en outre bénéficier des avancées contenues dans le projet de loi relatif à la protection des enfants – qui doit, me semble-t-il, revenir à l'Assemblée nationale en décembre prochain.
Il me semble qu'il faut privilégier ce véhicule législatif à une expérimentation provisoire et portant uniquement sur une partie du territoire. C'est pourquoi je vous propose de retirer l'amendement ; à défaut, j'émettrai un avis défavorable.