Il me paraît donc important de répondre dès à présent aux orateurs – de nombreux points ont été évoqués –, car ce dont nous débattons exige la plus grande clarté de notre part.
Pour ce qui me concerne, monsieur le rapporteur, je ne compte pas crier pour répondre, d'abord par courtoisie, par respect républicain, mais aussi parce que ce n'est pas ma conception du débat. Je vous propose que nous ayons un débat apaisé, autant que faire se peut : nous le devons à nos jeunes.
Monsieur le rapporteur, vous ne pouvez pas dire que notre pays s'appauvrit et que nous appauvrissons les jeunes : nous œuvrons chaque jour à leurs côtés.