Les amendements de Frédéric Petit pour ce dossier

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Pourquoi prévoir une demi-journée ? Monsieur Ruffin, le contrat de travail des auxiliaires de vie sociale et le contrat de prestation des associations qui les recrutent ne s'arrêtent pas à la minute où la personne décède.

Très souvent, le service se poursuit quatre ou cinq jours ; c'était le cas après le décès de mon père. Vous entrez trop dans les détails et vous risquez de faire reculer les choses : quatre jours, c'est mieux qu'une demi-journée ! Ces jours sont payés par la famille, car il faut que quelqu'un ferme le domicile, le range, attende le médecin, et...

Monsieur Ruffin, c'est la même question que tout à l'heure. Dans le secteur du bâtiment, si les accidents du travail sont moins fréquents aujourd'hui qu'il y a cinquante ans, c'est grâce au travail mené par les entreprises, aux plans qu'elles ont appliqués ; il a fallu un travail énorme sur les indicateurs, année après année. C'est comme cela q...

Sans revenir sur tous les arguments avancés, je constate que M. Vallaud a commis la confusion dangereuse que j'avais signalée en comparant le bien-être au travail aux accidents du travail. Ne pas avoir d'accidents du travail, c'est inscrit dans la loi depuis quatre-vingts ans.

Vous n'avez pas parlé d'accidents du travail, mais certains des amendements sur lesquels vous êtes intervenu en parlent. Vous avez dit qu'il faudrait faire des propositions que contiennent ces amendements autant des critères pour l'attribution de la dotation qualité. C'est exactement le risque sur lequel je vous alertais précédemment. Il y a de...