Les amendements de Emmanuelle Ménard pour ce dossier

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Je serai très brève car il est difficile d'ajouter quelque chose après que MM. Door et Bazin se sont exprimés ! Je me fais l'écho de leur demande et de celle des établissements d'hospitalisation privés, qui souhaiteraient bénéficier d'un sursis d'un an, en quelque sorte, avec un report de 2022 à 2023 de l'entrée en vigueur de la réforme du tick...

Monsieur le rapporteur général, monsieur le ministre, vous avez indiqué que vous souhaitiez conduire une évaluation du dispositif avant de considérer son éventuelle prolongation. C'est tout à fait normal : les dispositifs sont là pour être évalués, il faut voir s'ils fonctionnent ou non. Dieu sait si les agriculteurs et les viticulteurs ont so...

Je vous mets en garde, monsieur le ministre : ils ne peuvent plus supporter l'instabilité fiscale, ce n'est pas possible. L'année 2022 va vraiment être compliquée pour les viticulteurs. Il faut absolument qu'ils puissent avoir de la visibilité pour programmer leurs investissements, et ils ont besoin de travailleurs occasionnels pour lesquels il...

Pas moins de 21,6 milliards : c'est le montant du déficit prévu de la sécurité sociale pour l'année 2022. Un déficit adopté sans broncher en Conseil des ministres le 7 octobre dernier et qui ne semble pas inquiéter le Gouvernement, puisqu'il s'est félicité en commission, par la voix du ministre des solidarités et de la santé, de présenter un bu...

…seulement 5 millions seront engagés en 2021. Il s'agit pourtant d'une question délicate mais impérieuse, qui nécessitait une réponse engagée et immédiate. Il est regrettable de devoir encore attendre : c'était pourtant le moment ou jamais ! Quant à la cinquième branche de la sécurité sociale, la branche autonomie, nous ne savons pas comment e...

J'entends la proposition de nos collègues du groupe La France insoumise, mais taxer à 100 % les dividendes des EHPAD privés conduirait à leur fermeture. Alors que nous manquons déjà d'EHPAD en France, va-t-on encore réduire le nombre de structures disponibles pour nos anciens ?

Mais si ! Il faut être un peu réaliste ! Se faire de l'argent sur le dos de nos anciens, pour reprendre vos mots, ne paraît évidemment pas très moral, mais la situation est tout de même un peu plus compliquée que cela.

Si vous voulez que nous manquions encore plus de structures permettant d'accueillir – et de bien accueillir – nos aînés, avançons vers ce type de proposition mais, je le répète, je ne crois pas que ce soit très réaliste.