Les amendements de Bruno Bilde pour ce dossier

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Cet amendement vise à réduire l'enveloppe destinée à l'accompagnement des migrants réfugiés de plus de 16 millions d'euros et celle consacrée à l'accès à la nationalité française de 600 000 euros. Nous vous proposons d'annuler les crédits alloués aux migrants pour financer des études universitaires, alors que vous refusez l'accès à ces mêmes é...

Nous vous proposons également de revoir fortement à la baisse les mille parcours d'insertion professionnelle pour les migrants réfugiés, alors que vous n'êtes pas capables de mener des politiques d'insertion sociale dignes de ce nom pour les Français les plus modestes. Les crédits consacrés au logement des migrants s'élèvent à 3 millions d'eur...

Le Gouvernement a décidé de faire exploser les dépenses relatives aux actions d'accompagnement des étrangers en situation régulière, auxquelles il octroie 10 millions de plus que dans la loi de finances pour 2017. Il fait pire que sous le quinquennat de François Hollande. C'est dire ! Mais le plus scandaleux, monsieur le ministre d'État, c'est...

Je sais que la question vous dérange ! Pensez-vous sérieusement que ces gens-là soient une chance pour la France ? De qui vous moquez-vous ? Allez dire aux 9 millions de Français qui vivent sous le seuil de pauvreté que leurs impôts vont servir à alphabétiser des migrants, à leur délivrer des droits spécifiques pour qu'ils trouvent un travail e...

J'ai déjà évoqué le fameux contrat d'intégration républicaine, dispositif qui offre aux migrants titulaires d'un titre de séjour toute une batterie d'avantages en matière d'insertion professionnelle, de santé, d'accès à la culture ou au sport. Étudions l'application d'une telle mesure dans un département comme Mayotte, qui compte 230 000 habit...

… qui vise à reporter l'entrée en vigueur progressive du CIR à Mayotte au 1er janvier 2022, et non au 1er janvier 2020 comme le prévoit le quatrième alinéa de l'article 56. Je sais que cela vous dérange.

À terme, il faudra abroger la loi du 7 mars 2016 relative au droit des étrangers en France, car elle apparaît en complet décalage avec les nécessités du moment qui, ne vous en déplaise, commandent de renforcer nos capacités d'expulsion et non d'intégration.

Notre politique d'asile coûte près de 2 milliards d'euros au budget de l'État. Une somme aussi faramineuse démontre que l'asile a été complètement dévoyé et qu'il constitue désormais une filière de l'immigration clandestine. Le rapport de la Cour des comptes de 2015 indiquait que 75 % des demandeurs d'asile étaient déboutés et que, parmi ces 75...

 « Nous sommes l'armée de la Nation et non celle du ministère des armées. La clause de sauvegarde consacre le principe de contribution de la Nation tout entière à l'effort que suppose tout engagement militaire en opération, sous le contrôle du Parlement. » C'est exactement dans la lignée de ces mots, prononcés par le général Lecointre, chef d'ét...