J'ai déjà eu largement l'occasion d'exprimer mon désaccord sur cette loi de programmation. Ce n'est que l'un des éléments pris en compte par Bruxelles pour former son jugement, et il revêt une dimension qualitative : le risque ne me paraît donc pas démesuré. Surtout, je continue à m'opposer sur le fond à ce type de lois. Le présent texte envisage la réalisation d'économies annuelles, de l'ordre de 12 milliards entre 2025 et 2027, portant principalement sur les dépenses publiques. On ne puisera pas de recettes là où j'estime qu'il serait nécessaire de le faire – nous en avons déjà débattu lors de l'examen du projet de loi de finances (PLF).