Nous avons posé ces trois conditions sur la table et les avons défendues à la fois devant le Conseil des ministres de l'Union européenne, devant la Commission européenne et, surtout, devant les autorités brésiliennes : j'ai tenu exactement le même discours à Brasilia la semaine dernière. Il n'y a aucune ambiguïté et aucun double discours : les conditions de la France sont très claires. De leur seule acceptation lors des négociations entre la Commission européenne et les États du Mercosur dépendra notre décision.