En vous disant cela, je pense à tous mes amis éleveurs, aux règles sanitaires que nous leur imposons et aux nombreux efforts d'adaptation qu'ils doivent réaliser. Une concurrence déloyale ne serait pas acceptable pour notre agriculture.
Ainsi, avec mes collègues, nous nous opposons à tout découpage en deux parties de ce texte qui empêcherait l'examen du volet commercial de cet accord par les parlements nationaux des États membres, nous privant ainsi du droit à la parole.