et dont je ne suis que la porte-parole, ont retenu plusieurs thèmes : les déserts médicaux, la vie chère et le manque d'enseignants. Néanmoins, c'est la question de la démocratie qu'ils ont choisie, et leur défiance qu'ils ont décidé d'exprimer ici.
Ils disent tous qu'ils continuent à s'intéresser à la politique, mais que rien n'a changé pour eux, ni avec le grand débat, ni avec les conventions citoyennes, ni avec les promesses d'une démocratie plus représentative.