et aggrave donc encore plus le changement climatique. Bref, nous pensions qu'il y avait urgence à agir, mais c'est encore pire que cela.
Admettons que vous n'ayez pas saisi l'urgence en dépit de milliers de cris d'alertes lancés par les scientifiques, de deux condamnations pour inaction climatique et de six rapports du Giec – Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Mais, maintenant, il est plus que temps de sortir de votre déni. Croyez-moi, madame la Première ministre, je vous le dis en toute bienveillance : les décisions que vous prenez ne sont pas sans conséquence.