Intervention de Manuel Valls

Séance en hémicycle du 11 février 2015 à 15h00
Questions au gouvernement préalables au conseil européen relatif à la lutte anti-terroriste — Lutte antiterroriste et politique pénale

Manuel Valls, Premier ministre :

Il faut être rigoureux, parler des faits, et seulement des faits. Un des assassins, par exemple, avait été placé sous surveillance électronique de fin de peine en mars 2014. Je ne peux que vous rappeler qu’à cette date, la réforme pénale n’était même pas en cours de discussion au Parlement ; à l’époque, et je ne vous le reproche pas, ce sont les lois que vous avez votées, en l’espèce la loi pénitentiaire de 2009, qui étaient en application.

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