Insupportable !
C'est ce que vous faites tout le temps ! Ce sont les remontées du terrain !
Si, ça marche très bien !
Oui, c'est honteux !
Ça ne vous parle pas beaucoup, mais nous, ça nous parle !
Arrêtez !
Les parents, c'est nous ! On a des enfants lycéens et on les aime !
Et du citoyen !
Nous aussi !
Si !
Eh oui !
Et encore, c'était gentil !
Et méchant !
Aucun problème, c'est autorisé !
Très bien !
Il n'y a que vous qui soyez du bon côté !
Nous non plus.
Heureusement que la police existe !
Les outre-mer font partie de la France !
C'est vrai !
Il concerne les dérives sectaires, sujet dont nous avons récemment reparlé et qui remonte aujourd'hui à la surface. Le dernier rapport de la Miviludes – mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires – montre l'explosion de ce phénomène au cours des vingt dernières années. Nous ne nous en sommes pas beaucoup préoccupés. Aujourd'hui, les sectes recrutent largement sur les réseaux sociaux par le biais d'influenceurs, des sortes de gourous 2.0. L'amendement propose de faire apparaître un message d'avertissement – affichant également le contact de la Miviludes – sur le compte d'influenceurs ayant fait l'objet de plusieurs ...
L'amendement prévoit que le message d'avertissement ne serait affiché que sur le compte d'un influenceur ayant fait l'objet de signalements reçus par la Miviludes et qui sont donc fondés. Un décret pourrait déterminer les conditions, par exemple relatives au nombre de signalements, caractérisant un danger pour les citoyens face à un véritable gourou en ligne. Le message ne risquerait donc pas d'être utilisé par des influenceurs lançant leurs troupes l'un contre l'autre. Il ne concerne que des faits avérés.
C'est très clair !
L'examen de ce texte constitue un moment fort pour notre assemblée. Entre 1933 et 1945, de nombreux Juifs ont été spoliés dans le contexte des persécutions antisémites, menées d'abord par l'Allemagne nazie, à partir de 1933, puis avec le concours de l'autorité collaborationniste se disant gouvernement de l'État français, à partir du 10 juillet 1940. De nos jours encore, grâce au travail des historiens, nous découvrons parfois l'horreur qui se cache derrière l'histoire d'une photographie, d'un livre ou d'un tableau, comme ce fut le cas dans ma circonscription à Sannois. En 2015, la ville a découvert que son musée exposait un tableau spolié à son ...
Eh oui, une nouvelle !
Exactement ! Ce n'est pas possible !
C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
Toujours le mépris des mélenchonistes !
C'est très juste, monsieur Hetzel !
C'est vous qui dites des bêtises !
Heureusement que vous êtes là !
Mais si, il l'a été !