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Et vous, vous avez perdu !
Vive les frondeurs !
Vous vous êtes couchés !
Bérégovoy doit se retourner dans sa tombe à t'écouter !
Et vous, quelles règles respectez-vous ?
Franchement, votre amendement ne sert à rien !
Vous savez qu'il y a plein de cas où ça se passe bien ?
Mais le ministre ne peut pas voter !
Sans employeur, il n'y a pas de salarié !
D'ailleurs, ce n'est pas vous qui êtes mis en cause !
Ce n'est pas un hasard !
Je comprends bien que « Le SMIC à 1 500 euros », c'est un très bel argument de communication !
Pas du tout !
Pas du tout !
Allez voir les toutes petites entreprises ! Elles sont à 200 euros près !
Vous parlez du SMIC à 1 500 euros. Effectivement, on peut y réfléchir, mais je tiens à rappeler à tous ceux qui nous écoutent que, en prenant en compte la revalorisation qui aura lieu au mois d'août et la prime d'activité à laquelle ont droit les personnes qui sont rémunérées au SMIC, la somme de 1 500 euros est déjà quasiment atteinte.
Vous parlez des patrons – êtes-vous allés les rencontrer ? On parle beaucoup des grands patrons, mais pas des petits. Mme Rousseau a parlé des coiffeuses ; j'ai moi-même rencontré des patrons coiffeurs. Ces patrons-là tirent la langue depuis des mois à cause du covid ; pour eux, c'est compliqué d'augmenter de 100 ou de 200 euros les salaires de leurs employés.
Je vous invite donc à travailler plutôt sur la prime d'activité. Ce dispositif est plus intéressant car il évite de grever les capacités des entreprises et, en même temps, il permet de bien accompagner ceux qui en ont le plus besoin. Il faut vraiment qu'on soit cohérent pour parvenir à augmenter les revenus sans alimenter une bulle inflationniste. Travaillons donc ensemble sur la prime d'activité. Arrêtez de vous arc-bouter sur le SMIC à 1 500 euros : avec la revalorisation du mois d'août et la prime d'activité, les personnes dont les revenus correspondent au SMIC toucheront cette somme.
Nous vivons un contexte exceptionnel, dû au climat international qui nécessite de prendre des mesures d'urgence. Mais l'urgence est exceptionnelle, elle ne doit pas devenir la règle. Voilà pourquoi nous souhaitons mettre une butée à cinq ans maximum, afin que ces possibilités de réquisition, de restriction ou de suspension d'activités soient limitées dans le temps.
Il n'y a rien de gratuit dans la vie !
Monsieur Boyard, un peu plus loin dans ce projet de loi figure une mesure, attachée à la mission "Solidarité, insertion et égalité des chances" , dite de la cantine à 1 euro, subventionnée par l'État.
Ce n'est pas ce que j'ai dit !
L'article 70, ce ne sont pas les faits personnels !
Ce ne sont pas des faits personnels !
Nous sommes tous d'accord : nous devons apporter une aide ponctuelle aux personnes qui doivent remplir leur cuve à fioul pour cet hiver, car le bouclier tarifaire ne s'applique pas à ce mode de chauffage. La différence entre nos amendements est mince en réalité : le vôtre, monsieur Nury, porte sur la mission "Cohésion des territoires" ; le nôtre, sur la mission "Écologie, développement et mobilités durables" . Si nous avons fait ce choix, c'est parce que nous souhaitons que ces financements soient associés à une prise en charge par les agences locales de l'énergie et d'autres structures compétentes afin d'accompagner ces ménages vers la transition ...
Il faut demander aux collectivités de s'inscrire davantage dans le dispositif parce qu'elles ne font pas toutes le pas de déployer la cantine à 1 euro. Le dispositif existe déjà, et vous n'avez pas rattaché votre amendement à la bonne mission : je vous invite à mieux connaître le projet de loi de finances.
Si ce n'est rien, financez-la vous-même !
Nous avons déposé entre le dépôt du texte et son examen en commission de finances cet amendement qui a pour but de revaloriser les rémunérations des salariés du réseau ADMR – aide à domicile en milieu rural. Nous avons toutefois constaté, avant l'arrivée du texte séance publique, que le dispositif que nous avions voté en commission était surdimensionné par rapport aux besoins de l'ADMR. Je vous invite donc à ne pas voter l'amendement en discussion mais à voter l'amendement n° 947, que nous avons rédigé depuis et que l'une de nos collègues défendra dans quelques instants.
Je n'ai jamais dit que l'amendement de la commission n'avait pas de légitimité. J'ai seulement expliqué le contexte dans lequel il a été présenté : nous avons eu deux jours pour déposer des amendements après que le texte du PLFR nous a été transmis, un jeudi. Force est de constater que celui-ci est mal calibré, qu'il s'agisse de son montant ou du choix de la mission à laquelle il se rattache, la mission « Solidarité, insertion et égalité des chances », dont je suis la rapporteure spéciale et dont le champ ne couvre pas ces organismes et ces métiers. Je suis toutefois d'accord avec vous, il y a une difficulté à résoudre et ma collègue a déposé un ...
Vous ne savez pas de quoi vous parlez ! Vous devriez aller faire un tour en prison, pour voir !
Il faut arrêter, vous racontez n'importe quoi !
Il y a la cantine à 1 euro !
Une présidente, ça se respecte !
Il a raison ! C'est une honte !
Vous avez peut-être juste peur de ne pas être réélus et de ne plus avoir assez d'argent !
C'est pourquoi mon groupe proposera une majoration de la flat tax sur ces dividendes s'il est constaté qu'ils sont substantiellement supérieurs à la pratique observée depuis cinq ans. Alors que va débuter notre marathon budgétaire, mon groupe aborde ces débats avec confiance et prudence, exigence et bienveillance, écoute et disponibilité. Il ne tient qu'à nous de faire de ce PLF une réussite.
Elle n'a pas à avoir la parole !
Les extrêmes ensemble !
Il ne tient qu'à nous, mesdames et messieurs, que cela ne soit pas le cas. Si, ensemble, nous nous montrons capables d'élaborer un budget ,…
…si nous sortons des postures consistant à nous prononcer contre le budget avant même d'en connaître le contenu, il n'y aura pas besoin d'y recourir. Si vous souhaitez que les amendements que nous avons défendus soient retenus, attendez la fin du débat pour adopter une position.
Autre sujet d'inquiétude : quand les Ehpad apprendront que tous les frais sont couverts, je vous le donne en 1 000, ils augmenteront leurs tarifs, c'est une certitude. Il faut en avoir conscience.
Je le fais au titre de l'article 70, alinéa 2, qui concerne le fait personnel. Je souhaite des excuses de la part de Mme Pires Beaune. Je ne suis pas une menteuse !
On a le droit de ne pas être d'accord. Moi, je n'ai insulté personne dans cet hémicycle !
Il est déplacé de me traiter de menteuse lorsque j'apporte des arguments. J'exige des excuses !
Il ne faut peut-être pas exagérer non plus !
Je comprends très bien la raison pour laquelle vous avez organisé un scrutin public, madame la présidente. Le problème, c'est qu'en raison du brouhaha, nous ne vous avons pas entendue lancer le scrutin.
Nous sommes plusieurs, sur ces bancs, à ne pas avoir pu voter !
Je ne le conteste pas, mais nous ne vous avons pas entendue ouvrir le scrutin !
L'automne représente un temps fort du Parlement, avec les débats – nécessaires – autour du budget de la nation. Cette première loi de finances de notre nouvelle législature n'y fait pas exception. À l'heure où cet hémicycle va connaître de longs débats, il apparaît essentiel aux yeux du groupe Démocrate que ces débats soient équilibrés, proportionnés, raisonnés, intelligibles et – espérons-le – respectueux. Cette assemblée est inédite par sa composition. C'est le choix des Français et ce choix doit être respecté. Depuis sa nomination, la Première ministre – avec tout son Gouvernement derrière elle – n'a de cesse d'ouvrir le dialogue pour ...